L’Unédic prédit un chômage à 10 % en 2021
Dans ses prévisions financières pour 2022, l’Unédic anticipe la destruction de 230 000 emplois. Après être tombé à 8 % fin 2020, le taux de chômage passerait à 10,1 % fin 2021.
Dans ses prévisions financières pour 2022, l’Unédic anticipe la destruction de 230 000 emplois. Après être tombé à 8 % fin 2020, le taux de chômage passerait à 10,1 % fin 2021.
Des syndicats affirment que 40 000 chômeurs auraient perçu la prime pour les travailleurs précaires “par erreur”. Mais Pôle emploi évoque des “cas de trop-perçu minoritaires”. Cette aide exceptionnelle a été prolongée jusqu’en mai 2021.
En cette période d’incertitude, faut-il abandonner ses projets de mobilité professionnelle ? Ou au contraire, est-ce le bon moment pour changer de job ? Les conseils de Gwladys Ramette, coach emploi et recruteuse.
Avec la généralisation actuelle du télétravail face à la crise du Covid-19, les entreprises s’adaptent. Selon Indeed, la part d’offres d’emploi comportant des mots clés liés au télétravail a triplé en un an. Côté demandeurs d’emploi, les recherches liées au travail à distance a aussi explosé.
Après l’avoir repoussée à trois reprises, le gouvernement envisage de mettre la réforme de l’assurance chômage en sourdine jusqu’à la reprise de l’économie. Donc après la pandémie et la crise, qui ne devrait pas prendre fin avant 2022 a minima.
Les 33 000 boulangeries françaises sont la recherche de 9 000 employés, partout dans l’Hexagone. Le secteur cherche notamment à former rapidement de jeunes boulangers en alternance.
Selon une étude de Syntec Conseil, le taux d’emploi des bac +5 sortis de formation cet été a fortement chuté en décembre, par rapport aux années précédentes. Une situation qui s’explique par l’impact de la crise du Covid-19 sur les départs à l’étranger. Ce qui constituerait paradoxalement une opportunité pour les entreprises.
Alors que le taux de chômage des seniors ne cesse d’augmenter, un nouveau contrat de travail a été créé le 14 décembre 2020, à destination des plus de 57 ans. Certaines modalités de ce “CDI inclusion” restent à préciser, mais les seniors éloignés de l’emploi peuvent désormais bénéficier d’un contrat à durée indéterminée au sein des structures d’insertion.