À l’heure de la pénurie des talents et de la quête de flexibilité des travailleurs, l’intérim en général et le CDI intérimaire en particulier s’affirment comme des leviers d’emploi accessibles. Parmi les forces de la formule, la formation et la stabilité de l’activité ont de quoi convaincre.
L’agence nationale pour la formation professionnelle des adultes et le spécialiste de l’intérim ont annoncé leur partenariat Défi pour l’emploi. L’objectif : multiplier les voies d’accès à l’emploi.
Le dernier baromètre de l’emploi du groupe Adecco-Analytics publié fin septembre prévoit plus de 4,5 millions de recrutements en France, entre juillet 2022 et juin 2023, tous secteurs confondus.
Randstad, groupe international d’intérim, souhaite embaucher 7 000 personnes en CDI-intérimaire en 2022, dans toute la France et dans des secteurs variés. Un véritable tremplin vers des emplois pérennes.
Selon le dernier baromètre Prism’emploi, le travail temporaire a moins reculé en octobre que les mois précédents. Mais le reconfinement n’a pas été pris en compte et risque de se traduire par une nouvelle dégradation.
Avec le nouveau confinement ayant débuté vendredi 30 octobre 2020, l’agence d’intérim Proman s’engage à ce que ses agences restent ouvertes. Dans cette même dynamique de maintien de l’activité, 8 000 postes sont à pourvoir et ce avant les fêtes de fin d’année.
Le spécialiste de l’intérim, Adecco, compte effectuer un recrutement d’ampleur national d’ici fin 2021. Au total, les embauches devraient concernées près de 15 000 futurs salariés.
Au vu de la situation économique actuelle liée au Coronavirus, l’intérim constitue un enjeu économique important. En effet, l’analyse des tendances permet d’anticiper la situation de l’emploi dans les différents métiers et secteurs. C’est pourquoi Prism’emploi, l’organisation professionnelle spécialisée dans le recrutement et l’intérim, a réalisé un baromètre.
Président de Manpower France, Alain Roumilhac revient sur la situation très tendue qui affecte aujourd’hui le travail temporaire
Prism’emploi, le patronat de l’intérim fait état de la forte répercussion de la crise sanitaire du coronavirus sur le secteur, avec plus de 550 000 emplois en moins à la fin mars.