Indemnités de licenciement : ce qui change pour les salariés
Le gouvernement voulait aller vite sur la réforme du Code du travail. Le volet sur les indemnités de licenciement entre désormais en vigueur.
Le gouvernement voulait aller vite sur la réforme du Code du travail. Le volet sur les indemnités de licenciement entre désormais en vigueur.
Le projet de loi permettant de modifier le code du Travail par ordonnances a été présenté, mercredi 28 juin, en Conseil des ministres.
Jusqu’au 1er janvier 2017, face à la dégradation de l’état de santé de son salarié suite à un accident du travail ou une maladie d’origine professionnelle ou non professionnelle, l’employeur devait organiser deux visites de reprise.
Après les débats sur la loi Travail, l’heure de son application concrète et immédiate sur les pratiques des professionnels de la formation est arrivée.
Avec 186 voix contre 153, et après l’examen de 195 amendements, le Sénat a adopté l’article 2 du projet de loi travail. Mais les sénateurs y ont apporté quelques modifications, notamment la suppression de la durée légale de travail et des ajustements sur le travail de nuit et le travail dominical.
L’économie de services, la numérisation, l’“ubérisation” des métiers se déploient, irrésistiblement. Au cœur de ce monde ouvert, les individus, qui savent que leurs parcours professionnels seront moins linéaires qu’autrefois, réclament davantage de protection et d’autonomie. Ces mutations, nous ne devons pas les subir mais, au contraire, les transformer en opportunités.
Mercredi 6 avril, le Premier ministre, Manuel Valls recevait les organisations de jeunesse, mais pas l’Association nationale des apprentis de France (l’Anaf). Francis Enguélé, directeur général de l’Anaf, répond à nos questions.
À la question, “Pensez-vous que le Gouvernement va faire machine arrière et retirer du texte certaines mesures phares ?” concernant la loi travail, 72,5 % estiment que oui, d’après un sondage Juritravail.com.