Les soft skills, qui constituent le savoir-être professionnel, sont les compétences comportementales à mettre en avant dans son CV ou en entretien pour se distinguer. Il faut bien les identifier et les choisir en fonction du poste visé.
Multiplication des concours d’éloquence, « À Voix Haute » nommé aux Césars, apparition d’un Grand Oral au bac : la prise de parole n’a jamais été autant en vogue ! Cette évolution se fait également sentir dans le milieu professionnel où la persuasion est devenue la compétence transversale la plus demandée.
Pour répondre aux tensions de recrutement, le gouvernement prévoit de financer les entreprises qui formeront pendant plusieurs mois les demandeurs d’emploi de longue durée.
« Parler ? je le fais tous les jours… », « Apprendre à respirer ? Pas besoin, c’est naturel… ». Ce sont des mots que j’entends souvent lors de mes coachings pour Yapuka. Alors oui, ces actions nous sont naturelles et nous n’y faisons plus attention. Cependant, bien parler est un art. Cela suppose un entraînement et l’apprentissage de techniques pour maîtriser cet art de la prise de parole en public. Au cœur de cette maîtrise, au-delà des mots, il y a d’abord la voix. Par Sarah Mahmoud, Coach Vocal et Coach pour Yapuka
Pôle emploi a ouvert le 23 août plus de 10 000 nouvelles places en formation à distance, dans de nombreux secteurs. Gratuites, elles sont ouvertes à tous, bien qu’elles nécessitent un certain degré d’autonomie.
Cette période de crise sanitaire vous donne, à coup sûr, l’envie de remettre tout à plat. Et si vous commenciez par mettre à jour vos profils sur les réseaux sociaux professionnels ?
Selon un baromètre réalisé par l’Ecole française et l’Institut BVA, la crise pousse les salariés à “chercher des passerelles pour rebondir et se préparer au monde de demain”.
Lors des process de recrutement, le handicap est dans la plupart des cas un facteur d’élimination des candidatures. C’est regrettable. Mais c’est la réalité. Et le bon sens vise donc à ne pas en parler. Sauf si l’entreprise est ouvertement handi-recruteuse. Par Gilles Payet, sophrologue et coach emploi
22 % des chômeurs exercent une activité bénévole, mûs par la recherche d’un lien social et le désir d’être utiles à la société. Mais le maintien de leurs indemnités est soumis à condition.
La moitié des actifs pensent que leur métier va disparaître dans 10 ans, tout en se sentant “mal préparés” par leurs employeurs à la transformation qui s’annonce.